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2014/12/29

Le feu du ciel (Lc 9, 51-56)

Résolument, avec ses disciples, Jésus se met en route vers Jérusalem. Dans un village de Samarie, on refuse de les héberger parce qu'ils se dirigent vers Jérusalem. Jacques et Jean suggèrent à Jésus que l'on fasse descendre le feu du ciel sur ce village. Jésus les réprimande.

Deux disciples, supposément ouverts à la mission de Jésus, ont des idées rétro qui tiennent de l'Ancienne Loi où l'on prenait un oeil pour un oeil et une dent pour une dent.

Suivre Jésus, mais... (Lc 9, 57-62)

Celui-ci dit à Jésus: "Je te suivrai où que tu ailles." Jésus répond: "Les renards ont des tanières et les oiseaux, des nids; mais le Fils de l'homme n'a pas où reposer la tête." Cet autre que Jésus appelle répond: " Permets-moi d'aller d'abord enterrer mon père." - "Laisse les morts enterrer leurs morts, lui répond Jésus. Toi, annonce en ta route le royaume de Dieu." Un troisième dit: " Je te suivrai, Seigneur, mais je veux d'abord aller faire mes adieux aux miens." - " Mettre la main à la charrue et regarder en arrière en mëme temps, lui dit Jésus, te disqualifie pour la mission du Royaume."

Aujourd'hui, on reçoit encore les invitations de Jésus avec des oui mais... On veut ses priorités d'abord; on a des "convenances". Avec cela, on finit par laisser passer l'invitation. Pour être avec Jésus, il faut avoir l'oreille à l'écoute, le coeur ouvert et ne pas tergiverser.




2014/12/26

La brebis retrouvée (Lc 15, 1s)

"Quel berger, dit Jésus, n'ira pas à la recherche de sa brebis perdue et n'éprouvera pas de la joie qand il la trouve? De même il y aura plus de joie dans le ciel pour un seul pécheur qui se repent que pour les autres qui n'ont pas à se repentir."

En lisant cet évangile, on se prend à désirer être cette brebis-là que le divin Berger ramène sur ses épaules tout à la joie de l'avoir retrouvée. Mais qui nous a fait croire que nous n'étions pas cette brebis-là? Nos égarements ne sont-ils pas assez évidents et nombreux pour nous en convaincre? N'avons-nous pas la conviction que Jésus est venu nous chercher des centaines et des milliers de fois? Il faut le croire parce que c'est vrai et nous en montrer reconnaissants.

On est donc porté à se croire bon, à se croire parmi les quatre-vingt-dix-neuf qui n'ont pas besoin d'être secourues! Jésus veut simplement nous dire ici qu'il aime qu'on se sache en besoin de lui et qu'on fasse appel à lui. C'est alors qu'on entre en relation particulière avec lui et qu'on lui reconnait et accorde le droit de nous prendre avec lui dans ses bras ou sur ses épaules ou dans son coeur. Pour cette sorte d'intimité, il nous faut ouvrir notre coeur et désirer lui appartenir.


J'ai donné comme titre à cette méditation "La brebis retrouvée" et non "La brebis perdue" Nous sommes tous retrouvés et bien des fois. Nous sommes tous sauvés. Jésus est notre Sauveur. C'est pourquoi il y a de la joie dans l'air en ce temps de Noël. Il s'est incarné pour nous sauver. Sans sa venue,nous serions encore dans l'Ancien Testament à l'attendre. Gloria in excelsis Deo!


2014/12/25

Noel

25 décembre, soir de Noël.

On a célébré sans doute
hier soir et aujourd'hui.
les familles se rencontrent.
Quand il s'agit de célébrer la venue de Dieu
chez nous dans un enfant comme nous
et pas vraiment comme nous
du fait qu'il est Dieu.
"Au commencement était le Verbe,
et le Verbe était avec Dieu,
et le Verbe était Dieu."
"Il est venu comme l'un des nôtres,
et nous n'en croyions pas nos yeux..."

Alors, en ce soir de Noël, il convient 
de nous tourner vers Lui
pour lui exprimer notre reconnaissance
de nous avoir visités d'une façon visible, 
tangible, et de nous avoir dit
ce qu'il nous faut savoir 
pour le suivre. 

Merci, Jésus, et prends-nous 
ton amour.